TÃtulo : |
Fritna |
Tipo de documento: |
texto impreso |
Autores: |
Gisèle Halimi (1927-....), Autor |
Editorial: |
Paris : Pocket |
Fecha de publicación: |
2001 |
Colección: |
Pocket num. 11005 |
Número de páginas: |
218 p. |
Il.: |
couv. ill. |
Dimensiones: |
18 cm |
ISBN/ISSN/DL: |
978-2-266-10293-3 |
Idioma : |
Francés (fre) |
Clasificación: |
848 Ecrits divers : procéder comme pour la poésie pour 848.001 à 848.009 |
Resumen: |
Une quête éperdue, une blessure, le manque. Gisèle Halimi, raconte sa mère, une femme qui ne l'aimait pas. "A Fritna morte, je ne dois que la vérité", conclue l'auteur.
Courageux, particulièrement émouvant, cet ouvrage puissant est à méditer à l'heure de la sieste, dans le silence et la tranquillité. |
Nota de contenido: |
Ma mère ne m'aimait pas. Ne m'avait jamais aimée, me disais-je certains jours. Elle, dont je guettais le sourire - rare - et toujours adressé aux autres, la lumière noire de ses yeux de Juive espagnole, elle dont j'admirais le maintien altier, la beauté immortalisée dans une photo accrochée au mur où dans des habits de bédouine, ses cheveux sombres glissant jusqu'aux reins, d'immenses anneaux aux oreilles, une jarre (on disait une gargoulette) de terre accrochée au dos tenue par une cordelette sur la tête, elle, ma mère dont je frôlais les mains, le visage pour qu'elle me touche, m'embrasse enfin, elle, ma mère, ne m'aimait pas. " Gisèle Halimi Dans une réflexion à la fois intimiste et profonde, la mal-aimée tente l'analyse de ce manque obsédant et de ses traces. "Tout ce que je suis, tout ce que j'ai fait, c'est, peut-être, parce que ma mère ne m'aimait pas." Livre d'émotion mais aussi de violence où le mythe de l'amour maternel vole en éclats et où, malgré les "substituts", se construit une personnalité en révolte contre l'injustice |
Sous niveau : |
d |
Index niveau : |
Sin asignar |
Fritna [texto impreso] / Gisèle Halimi (1927-....), Autor . - Paris : Pocket, 2001 . - 218 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Pocket; 11005) . ISBN : 978-2-266-10293-3 Idioma : Francés ( fre)
Clasificación: |
848 Ecrits divers : procéder comme pour la poésie pour 848.001 à 848.009 |
Resumen: |
Une quête éperdue, une blessure, le manque. Gisèle Halimi, raconte sa mère, une femme qui ne l'aimait pas. "A Fritna morte, je ne dois que la vérité", conclue l'auteur.
Courageux, particulièrement émouvant, cet ouvrage puissant est à méditer à l'heure de la sieste, dans le silence et la tranquillité. |
Nota de contenido: |
Ma mère ne m'aimait pas. Ne m'avait jamais aimée, me disais-je certains jours. Elle, dont je guettais le sourire - rare - et toujours adressé aux autres, la lumière noire de ses yeux de Juive espagnole, elle dont j'admirais le maintien altier, la beauté immortalisée dans une photo accrochée au mur où dans des habits de bédouine, ses cheveux sombres glissant jusqu'aux reins, d'immenses anneaux aux oreilles, une jarre (on disait une gargoulette) de terre accrochée au dos tenue par une cordelette sur la tête, elle, ma mère dont je frôlais les mains, le visage pour qu'elle me touche, m'embrasse enfin, elle, ma mère, ne m'aimait pas. " Gisèle Halimi Dans une réflexion à la fois intimiste et profonde, la mal-aimée tente l'analyse de ce manque obsédant et de ses traces. "Tout ce que je suis, tout ce que j'ai fait, c'est, peut-être, parce que ma mère ne m'aimait pas." Livre d'émotion mais aussi de violence où le mythe de l'amour maternel vole en éclats et où, malgré les "substituts", se construit une personnalité en révolte contre l'injustice |
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