TÃtulo : |
La jeune Parque : et poemes en prose |
Tipo de documento: |
texto impreso |
Autores: |
Paul Valéry (1871-1945), Autor |
Editorial: |
Paris : Gallimard |
Fecha de publicación: |
DL 1974 |
Colección: |
Collection Poésie num. 102 |
Número de páginas: |
187 p. |
Il.: |
couv. ill.10,7 x 1,5 x 17,5 cm |
ISBN/ISSN/DL: |
978-2-07-031792-9 |
Idioma : |
Francés (fre) |
Clasificación: |
848.08 Œuvres en prose |
Nota de contenido: |
«Avec Rimbaud et Mallarmé, Valéry abolit la religion du sens unique d'un texte. Pas de centre, de point fixe - et ceci est valable pour tous les poèmes cités ici ; un décentrement incessant, des surimpressions plastiques, phoniques, des métaphores qui se renforcent de nouveaux éléments à cent vers de distance, des durées multiples qui s'organisent à l'intérieur du poème, comme l'histoire ou le corps ont des durées différentes, le cœur, la vue, la marche, et l'ensemble c'est la vie du corps ; des substitutions d'une durée à l'autre (c'était le rythme de la durée de la marche, et cela devient, oui, le rythme de la durée d'un cœur qui bat, qui s'arrête, qui bat encore). Pas de poésie plus mobile, comme le sang. Et puis, un échange entre le passé, le futur, le présent, qui rend heureusement impossible toute chronologie interne ; un temps plein, et paradoxal : une achronie généralisée, le temps du rêve.» Jean Levaillant. |
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La jeune Parque : et poemes en prose [texto impreso] / Paul Valéry (1871-1945), Autor . - Paris : Gallimard, DL 1974 . - 187 p. : couv. ill.10,7 x 1,5 x 17,5 cm. - ( Collection Poésie; 102) . ISBN : 978-2-07-031792-9 Idioma : Francés ( fre)
Clasificación: |
848.08 Œuvres en prose |
Nota de contenido: |
«Avec Rimbaud et Mallarmé, Valéry abolit la religion du sens unique d'un texte. Pas de centre, de point fixe - et ceci est valable pour tous les poèmes cités ici ; un décentrement incessant, des surimpressions plastiques, phoniques, des métaphores qui se renforcent de nouveaux éléments à cent vers de distance, des durées multiples qui s'organisent à l'intérieur du poème, comme l'histoire ou le corps ont des durées différentes, le cœur, la vue, la marche, et l'ensemble c'est la vie du corps ; des substitutions d'une durée à l'autre (c'était le rythme de la durée de la marche, et cela devient, oui, le rythme de la durée d'un cœur qui bat, qui s'arrête, qui bat encore). Pas de poésie plus mobile, comme le sang. Et puis, un échange entre le passé, le futur, le présent, qui rend heureusement impossible toute chronologie interne ; un temps plein, et paradoxal : une achronie généralisée, le temps du rêve.» Jean Levaillant. |
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