| TÃtulo : |
Lettres portugaises ; suivies de Guilleragues par lui-m?eme |
| Tipo de documento: |
texto impreso |
| Autores: |
Gabriel Joseph de Lavergne Guilleragues (1628-1685), Autor ; Fr?ed?eric Deloffre (1921-2008), Editor cientÃfico ; Jean-Pierre Berthe (1926-2014), Donador |
| Editorial: |
Paris : Gallimard |
| Fecha de publicación: |
1990 |
| Colección: |
Collection Folio, ISSN 0768-0732 num. 2154 |
| TÃtulos uniformes: |
Lettres portugaises : 1990; francais
|
| Número de páginas: |
1 vol. (217 p.) |
| Il.: |
couv. ill. en coul. |
| Dimensiones: |
18 cm |
| ISBN/ISSN/DL: |
978-2-07-038244-6 |
| Idioma : |
Francés (fre) |
| Clasificación: |
843.4 |
| Resumen: |
Considère, mon amour, jusqu'à quel excès tu as manqué de prévoyance. Ah ! malheureux ! tu as été trahi, et tu m'as trahie par des espérances trompeuses. Une passion sur laquelle tu avais fait tant de projets de plaisirs, ne te cause présentement qu'un mortel désespoir, qui ne peut être comparé qu'à la cruauté de l'absence qui le cause. Quoi ? cette absence, à laquelle ma douleur, tout ingénieuse qu'elle est, ne peut donner un nom assez funeste, me privera donc pour toujours de regarder ces yeux dans lesquels... |
| Sous niveau : |
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| Index niveau : |
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Lettres portugaises ; suivies de Guilleragues par lui-m?eme [texto impreso] / Gabriel Joseph de Lavergne Guilleragues (1628-1685), Autor ; Fr?ed?eric Deloffre (1921-2008), Editor cientÃfico ; Jean-Pierre Berthe (1926-2014), Donador . - Paris : Gallimard, 1990 . - 1 vol. (217 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Collection Folio, ISSN 0768-0732; 2154) . ISBN : 978-2-07-038244-6 Oeuvre : Lettres portugaises : 1990; francais Idioma : Francés ( fre)
| Clasificación: |
843.4 |
| Resumen: |
Considère, mon amour, jusqu'à quel excès tu as manqué de prévoyance. Ah ! malheureux ! tu as été trahi, et tu m'as trahie par des espérances trompeuses. Une passion sur laquelle tu avais fait tant de projets de plaisirs, ne te cause présentement qu'un mortel désespoir, qui ne peut être comparé qu'à la cruauté de l'absence qui le cause. Quoi ? cette absence, à laquelle ma douleur, tout ingénieuse qu'elle est, ne peut donner un nom assez funeste, me privera donc pour toujours de regarder ces yeux dans lesquels... |
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Lettres portugaises ; suivies de Guilleragues par lui-m?eme