TÃtulo : |
Que ma joie demeure : roman |
Tipo de documento: |
texto impreso |
Autores: |
Jean Giono (1895-1970) |
Editorial: |
Paris : Grasset |
Fecha de publicación: |
1983, c1935 |
Colección: |
Le livre de poche num. 493 |
Número de páginas: |
504 p. |
Il.: |
couv. ill. en coul |
Dimensiones: |
17 cm |
ISBN/ISSN/DL: |
978-2-253-00522-3 |
Idioma : |
Francés (fre) |
Clasificación: |
843 Fiction |
Resumen: |
La nuit est d'une telle beauté là -haut, sur le plateau Grémone, que Jourdan ne résiste plus à l'envie de labourer à la clarté des étoiles. Oh ! pas pour avancer les travaux, non, mais pour goûter cette nuit exceptionnelle, pour répondre à un vague désir nostalgique qui l'oppresse et qui est peut-être le regret d'être attaché à un coin de glèbe alors que le monde si vaste reste inconnu.
Et tandis qu'il creuse ses sillons il pressent que quelque chose va se produire qui arrachera à la tristesse les quelque vingt habitants de ce coin isolé de Haute-Provence. A l'orée de la forêt survient le « guérisseur de lèpre » qu'il attend instinctivement : Bobi l'acrobate rendra la joie aux gens du plateau en leur apprenant la nécessité de l'inutile, du temps passé à flâner, à regarder la nature - par l'installation du cerf qui provoque le grand banquet spontané, par la plantation des narcisses, par les gestes simples et comme oubliés...
Une fraternité naît, une « commune » se fonde. Cependant, pour que la joie demeure, il faut que chacun parvienne à la paix intérieure. C'est là qu'achoppe l'œuvre de Bobi et c'est là que trouve son dénouement le roman-poème où Jean Giono chante la vie proche de la terre, la gloire des champs et des bois, la sagesse des bergers. |
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Que ma joie demeure : roman [texto impreso] / Jean Giono (1895-1970) . - Paris : Grasset, 1983, c1935 . - 504 p. : couv. ill. en coul ; 17 cm. - ( Le livre de poche; 493) . ISBN : 978-2-253-00522-3 Idioma : Francés ( fre)
Clasificación: |
843 Fiction |
Resumen: |
La nuit est d'une telle beauté là -haut, sur le plateau Grémone, que Jourdan ne résiste plus à l'envie de labourer à la clarté des étoiles. Oh ! pas pour avancer les travaux, non, mais pour goûter cette nuit exceptionnelle, pour répondre à un vague désir nostalgique qui l'oppresse et qui est peut-être le regret d'être attaché à un coin de glèbe alors que le monde si vaste reste inconnu.
Et tandis qu'il creuse ses sillons il pressent que quelque chose va se produire qui arrachera à la tristesse les quelque vingt habitants de ce coin isolé de Haute-Provence. A l'orée de la forêt survient le « guérisseur de lèpre » qu'il attend instinctivement : Bobi l'acrobate rendra la joie aux gens du plateau en leur apprenant la nécessité de l'inutile, du temps passé à flâner, à regarder la nature - par l'installation du cerf qui provoque le grand banquet spontané, par la plantation des narcisses, par les gestes simples et comme oubliés...
Une fraternité naît, une « commune » se fonde. Cependant, pour que la joie demeure, il faut que chacun parvienne à la paix intérieure. C'est là qu'achoppe l'œuvre de Bobi et c'est là que trouve son dénouement le roman-poème où Jean Giono chante la vie proche de la terre, la gloire des champs et des bois, la sagesse des bergers. |
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