Información del autor
Autor Charles Dantzig |
Documentos disponibles escritos por este autor (5)
Refinar búsqueda Consulta a fuentes externas
De la vulgarité de Proust / Charles Dantzig en Le Magazine Littéraire, 519 (Mai 2012)
[artÃculo]
TÃtulo : De la vulgarité de Proust : La vie des lettres Tipo de documento: texto impreso Autores: Charles Dantzig, Autor Fecha de publicación: 2012 ArtÃculo en la página: p. 28-29 Idioma : Francés (fre) Resumen: Arrêtez de me parler de vertiges de finesses. Louis-Ferdinand Céline a été entendu et tout de suite précisément à cause du rudimentaire et du tonitruant de son style.
in Le Magazine Littéraire > 519 (Mai 2012) . - p. 28-29[artÃculo] De la vulgarité de Proust : La vie des lettres [texto impreso] / Charles Dantzig, Autor . - 2012 . - p. 28-29.
Idioma : Francés (fre)
in Le Magazine Littéraire > 519 (Mai 2012) . - p. 28-29
Resumen: Arrêtez de me parler de vertiges de finesses. Louis-Ferdinand Céline a été entendu et tout de suite précisément à cause du rudimentaire et du tonitruant de son style. Dernières nouvelles de salauds / Charles Dantzig en Le Magazine Littéraire, 521 (Juillet 2012)
[artÃculo]
TÃtulo : Dernières nouvelles de salauds : La vie des lettres Tipo de documento: texto impreso Autores: Charles Dantzig, Autor Fecha de publicación: 2012 ArtÃculo en la página: p. 28-29. Idioma : Francés (fre) Resumen: J'ai inventé pour mes auditeurs chinois un proverbe: "La littérature porte malheur à ceux qui ne l'aiment pas"
in Le Magazine Littéraire > 521 (Juillet 2012) . - p. 28-29.[artÃculo] Dernières nouvelles de salauds : La vie des lettres [texto impreso] / Charles Dantzig, Autor . - 2012 . - p. 28-29.
Idioma : Francés (fre)
in Le Magazine Littéraire > 521 (Juillet 2012) . - p. 28-29.
Resumen: J'ai inventé pour mes auditeurs chinois un proverbe: "La littérature porte malheur à ceux qui ne l'aiment pas" La littérature est un impérialisme / Charles Dantzig en Le Magazine Littéraire, 520 (Juin 2012)
[artÃculo]
TÃtulo : La littérature est un impérialisme : La vie des lettres Tipo de documento: texto impreso Autores: Charles Dantzig, Autor Fecha de publicación: 2012 ArtÃculo en la página: p. 28-29 Idioma : Francés (fre) Resumen: Si des êtres humains se préoccupent de la forme, ce sont les travestis. [...] C'est l'annexion perpétuelle de l'inconnu à laquelle procède la fiction qui humanise la vie, si violente. Travestis, drag queens, n'y voyez pas du sexe.
in Le Magazine Littéraire > 520 (Juin 2012) . - p. 28-29[artÃculo] La littérature est un impérialisme : La vie des lettres [texto impreso] / Charles Dantzig, Autor . - 2012 . - p. 28-29.
Idioma : Francés (fre)
in Le Magazine Littéraire > 520 (Juin 2012) . - p. 28-29
Resumen: Si des êtres humains se préoccupent de la forme, ce sont les travestis. [...] C'est l'annexion perpétuelle de l'inconnu à laquelle procède la fiction qui humanise la vie, si violente. Travestis, drag queens, n'y voyez pas du sexe. Pellicule de papier / Charles Dantzig en Le Magazine Littéraire, 526 (December 2012)
[artÃculo]
TÃtulo : Pellicule de papier Tipo de documento: texto impreso Autores: Charles Dantzig, Autor Fecha de publicación: 2013 ArtÃculo en la página: P. 26-27 Idioma : Francés (fre) Resumen:
Empêcher la lecture est une barbarie pratiquée par les institutions qui veulent nous subjuguer. Les salles de cinéma baissent la lumière au moment de la publicité, pour bien nous forcer à engloutir les messages. Cette pratique, m'a-t-on dit, aurait été condamnée en justice, quelqu'un pourrait-il me procurer le jugement ? C'est en tout cas une possible raison de la disparition des cinéphiles. Les cinéphiles étaient aussi des lecteurs. Du temps qu'on ne diminuait pas la lumière, ils lisaient avant le film, pendant les publicités. Après le film, ils écrivaient sur lui, puis devenaient [...]
in Le Magazine Littéraire > 526 (December 2012) . - P. 26-27[artÃculo] Pellicule de papier [texto impreso] / Charles Dantzig, Autor . - 2013 . - P. 26-27.
Idioma : Francés (fre)
in Le Magazine Littéraire > 526 (December 2012) . - P. 26-27
Resumen:
Empêcher la lecture est une barbarie pratiquée par les institutions qui veulent nous subjuguer. Les salles de cinéma baissent la lumière au moment de la publicité, pour bien nous forcer à engloutir les messages. Cette pratique, m'a-t-on dit, aurait été condamnée en justice, quelqu'un pourrait-il me procurer le jugement ? C'est en tout cas une possible raison de la disparition des cinéphiles. Les cinéphiles étaient aussi des lecteurs. Du temps qu'on ne diminuait pas la lumière, ils lisaient avant le film, pendant les publicités. Après le film, ils écrivaient sur lui, puis devenaient [...]Le temps n'existe pas / Charles Dantzig en Le Magazine Littéraire, 525 (Novembre 2012)
[artÃculo]
TÃtulo : Le temps n'existe pas : La vie des Lettres Tipo de documento: texto impreso Autores: Charles Dantzig, Autor Fecha de publicación: 2012 ArtÃculo en la página: P.28-29 Idioma : Francés (fre) Resumen: Nous admirons les étoiles. Certaines se trouvent tout près de nous. Depuis trois cents ans, Versailles brille comme une ampoule à la courbure de la terre. À quelques interruptions près (toutes les étoiles clignotent), ce château n'a cessé d'occuper une partie de l'imagination des hommes. C'est pour eux un sommet de civilisation. La différence entre la civilisation et la barbarie ne tient souvent qu'aux manières. Un barbare vous égorge en rugissant, un civilisé vous fait égorger après avoir dit : « À bientôt, cher monsieur. »
in Le Magazine Littéraire > 525 (Novembre 2012) . - P.28-29[artÃculo] Le temps n'existe pas : La vie des Lettres [texto impreso] / Charles Dantzig, Autor . - 2012 . - P.28-29.
Idioma : Francés (fre)
in Le Magazine Littéraire > 525 (Novembre 2012) . - P.28-29
Resumen: Nous admirons les étoiles. Certaines se trouvent tout près de nous. Depuis trois cents ans, Versailles brille comme une ampoule à la courbure de la terre. À quelques interruptions près (toutes les étoiles clignotent), ce château n'a cessé d'occuper une partie de l'imagination des hommes. C'est pour eux un sommet de civilisation. La différence entre la civilisation et la barbarie ne tient souvent qu'aux manières. Un barbare vous égorge en rugissant, un civilisé vous fait égorger après avoir dit : « À bientôt, cher monsieur. »