| TÃtulo : |
L'homme qui danse |
| Otro tÃtulo : |
Kaspar Konzert / Skull*cult |
| Tipo de documento: |
documento proyectable o vÃdeo |
| Autores: |
Rosita Boisseau, Realizador de la pelÃcula. ; Valérie Urréa, Realizador de la pelÃcula. ; Sylvie Blum, Realizador de la pelÃcula. ; François Verret, Realizador de la pelÃcula. ; Cristophe Bargues, Realizador de la pelÃcula. |
| Editorial: |
Paris : Association pour la diffusion de la pensée française, ADPF |
| Fecha de publicación: |
2004-2001-2002 |
| Colección: |
Paysages chorégraphiques en France num. 3 |
| Número de páginas: |
1 DVD |
| Nota general: |
-L'homme qui danse: sous-titres en anglais, espagnol et portugais, 59'. Coproduction Arte France, les Films Pénélope.
-Kaspar Konzert: 25', chorégraphie. Coproduction: INA, SFP Productions, Arte France.
-Skull*cult: 24', chorégraphie. Coproduction: La Compagnie des Indes, Festival d'Avignon, SACD |
| Idioma : |
Francés (fre) |
| Clasificación: |
070 Media, journalisme, édition |
| Resumen: |
L'homme qui danse: "dans une société qui se féminise, les hommes qui dansent et jouent leur peau d’homme à chaque fois qu’ils montent sur un plateau. » Travesti, seul, avec d'autres hommes, avec des femmes, l'homme contemporain danse avec plus de liberté, plus de sensualité. Ne serait-il pas, une figure dérangeante qui s’impose en dehors des normes de genre?
Kaspar Konzert: Deux acteurs et un musicien, mis en scéne par François Verret, révèlent les moments des plus forts remuements de Kaspar quand il rencontre la société des hommes. A l'intérieur d'une machinerie métallique, le corps se met en tension, tisse sa toile, rebondit et chute. La caméra saisit l'amplitude de la voltige de Mathurin Bolze. Tantôt acrobate lumineux suspendu dans les airs, tantôt pantin jonchê sur le sol, homme araignée, homme singe, le corps manipulé se déploie, de plus en plus vite...
Skull*cult: Initialement formé aux arts plastiques avant d’aborder la musique (rock), puis la danse et la performance, Rizzo conjugue à ses diverses pratiques de la scène la conception d’"objets" ou d’installations et la création de costumes. Pourtant, s’il cultive la pluridisciplinarité, une question centrale anime l’ensemble de ses œuvres : le corps et ses transformations... jusqu’à cette transformation ultime qu’est la mort, la disparition. Ainsi, dans "Skull*Cult", c’est de dos, vêtu, botté, ganté, casqué, encapuchonné de noir, c’est-à -dire sous l’enveloppe - que l’on pressent désincarnée - d’un motard, qu’apparaît Ouramdane. D’une rive à l’autre d’un plateau nu, recourbé au lointain comme une vague, il effectue une lente et incertaine traversée qui est aussi une traversée des apparences, un rite de passage. En 2005, les deux artistes reviendront sur cette figure tragique – Rizzo dans "Comme crâne, comme culte" et Ouramdane dans "Les morts pudiques", sa relecture du "Jeune homme et la mort". |
L'homme qui danse ; Kaspar Konzert / Skull*cult [documento proyectable o vÃdeo] / Rosita Boisseau, Realizador de la pelÃcula. ; Valérie Urréa, Realizador de la pelÃcula. ; Sylvie Blum, Realizador de la pelÃcula. ; François Verret, Realizador de la pelÃcula. ; Cristophe Bargues, Realizador de la pelÃcula. . - Paris : Association pour la diffusion de la pensée française, ADPF, 2004-2001-2002 . - 1 DVD. - ( Paysages chorégraphiques en France; 3) . -L'homme qui danse: sous-titres en anglais, espagnol et portugais, 59'. Coproduction Arte France, les Films Pénélope.
-Kaspar Konzert: 25', chorégraphie. Coproduction: INA, SFP Productions, Arte France.
-Skull*cult: 24', chorégraphie. Coproduction: La Compagnie des Indes, Festival d'Avignon, SACD Idioma : Francés ( fre)
| Clasificación: |
070 Media, journalisme, édition |
| Resumen: |
L'homme qui danse: "dans une société qui se féminise, les hommes qui dansent et jouent leur peau d’homme à chaque fois qu’ils montent sur un plateau. » Travesti, seul, avec d'autres hommes, avec des femmes, l'homme contemporain danse avec plus de liberté, plus de sensualité. Ne serait-il pas, une figure dérangeante qui s’impose en dehors des normes de genre?
Kaspar Konzert: Deux acteurs et un musicien, mis en scéne par François Verret, révèlent les moments des plus forts remuements de Kaspar quand il rencontre la société des hommes. A l'intérieur d'une machinerie métallique, le corps se met en tension, tisse sa toile, rebondit et chute. La caméra saisit l'amplitude de la voltige de Mathurin Bolze. Tantôt acrobate lumineux suspendu dans les airs, tantôt pantin jonchê sur le sol, homme araignée, homme singe, le corps manipulé se déploie, de plus en plus vite...
Skull*cult: Initialement formé aux arts plastiques avant d’aborder la musique (rock), puis la danse et la performance, Rizzo conjugue à ses diverses pratiques de la scène la conception d’"objets" ou d’installations et la création de costumes. Pourtant, s’il cultive la pluridisciplinarité, une question centrale anime l’ensemble de ses œuvres : le corps et ses transformations... jusqu’à cette transformation ultime qu’est la mort, la disparition. Ainsi, dans "Skull*Cult", c’est de dos, vêtu, botté, ganté, casqué, encapuchonné de noir, c’est-à -dire sous l’enveloppe - que l’on pressent désincarnée - d’un motard, qu’apparaît Ouramdane. D’une rive à l’autre d’un plateau nu, recourbé au lointain comme une vague, il effectue une lente et incertaine traversée qui est aussi une traversée des apparences, un rite de passage. En 2005, les deux artistes reviendront sur cette figure tragique – Rizzo dans "Comme crâne, comme culte" et Ouramdane dans "Les morts pudiques", sa relecture du "Jeune homme et la mort". |
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