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L'automne à Pékin / Boris Vian
Título : L'automne à Pékin : suivi de Tipo de documento: texto impreso Autores: Boris Vian (1920-1959), Autor Editorial: Paris : les Éd. de Minuit Fecha de publicación: 1990 Colección: Collection Double num. 3 Número de páginas: 297 p. Dimensiones: 18 cm ISBN/ISSN/DL: 2-7073-0589-8 Clasificación: 843 Fiction L'automne à Pékin : suivi de [texto impreso] / Boris Vian (1920-1959), Autor . - Paris : les Éd. de Minuit, 1990 . - 297 p. ; 18 cm. - (Collection Double; 3) .
ISBN : 2-7073-0589-8
Clasificación: 843 Fiction Ejemplares(1)
Código de barras Signatura Tipo de medio Ubicación Sección Estado 300-00000000236 843 VIA Livre AF Pereira Collection générale Disponible Los suscriptores que pidieron prestado este documento pidieron prestados también:
Aya de Yopougon Abouet, Marguerite La ciudad y yo : antología de relatos dibujados Collectif Logicomix Doxiád?s, Apóstolos K. (1953-....) La lettre de Cordoue Gallier, Thierry (1958-....) Edito Heu, Elodie Stupides ! Stupides espions ! Marazano, Richard (1971-....) Dernier Amour / Christian Gailly
Título : Dernier Amour Tipo de documento: texto impreso Autores: Christian Gailly (1943-....), Autor Editorial: Paris : les Éd. de Minuit Fecha de publicación: 2013 Colección: Collection Double Número de páginas: 124 Pages Il.: ill. en coul.,18 x 11 x 0 cm ISBN/ISSN/DL: 978-2-7073-2326-2 Nota general: Género: Ficción Idioma : Francés (fre) Resumen: Imaginez. Il ne vous reste que deux jours à vivre. Qu'est-ce qui est préférable ? Finir tranquille dans l'ennui qu'aura été toute votre vie ? Ou bien, si vous êtes musicien, comprendre enfin pourquoi votre musique vient d'être huée et, dès le lendemain, rencontrer celle qui devrait être votre dernier amour ?
Ultime partition amoureuse d’un compositeur proche de la mort, récit tragique et léger : le douzième roman de Gailly est tout simplement parfait. Dernier amour est la suite exacte d’Un soir au club, ou plutôt l’histoire de ses effets sur un romancier plus souverainement musical que jamais. Tout cela tient bien sûr à peut de choses, et touche donc à l’essentiel : la vie, la mort, le piano.
Paul Cédrat est compositeur de musique dite contemporaine. Le quatuor Alexander doit interpréter, un soir d’été à Zurich, son Quatuor à cordes, opus 12, entre une pièce de Haydn et l’Opus 131 de Beethoven. Paul est dans la salle, c’est la minute de son œuvre, et c’est aussitôt le flop : l’assistance marque son mécontentement, il faut précipiter l’entracte, il ne reste plus qu’à passer à Beethoven. Et à mourir. Car Paul est trop maigre et très malade, aussi s’en va-t-il agoniser au bord de la mer.
Avec la facilité d’un pianiste qui n’a presque plus besoin de jouer, ou alors seulement quelques notes, Gailly se permet une sorte d’improvisation au bord du gouffre : des silences, beaucoup de vide, quelques motifs et deux ou trois couleurs. A peine un roman, en vérité : quelque chose comme l’ébauche d’une chanson, l’équivalent littéraire tout juste murmuré de It Was a Very Good Year, le chef d’œuvre de Sinatra sur lequel tombe Paul à la radio. Mais du Sinatra joué par un Bill Evans très fatigué : tragique et léger, merveilleusement syncopé, attrapant sa vie comme une mélodie impossible à sauver, et se sauvant bien sûr par elle. Le dernier mot du livre ? « Merci ».Sous niveau : Sin asignar Index niveau : Sin asignar Dernier Amour [texto impreso] / Christian Gailly (1943-....), Autor . - Paris : les Éd. de Minuit, 2013 . - 124 Pages : ill. en coul.,18 x 11 x 0 cm. - (Collection Double) .
ISBN : 978-2-7073-2326-2
Género: Ficción
Idioma : Francés (fre)
Resumen: Imaginez. Il ne vous reste que deux jours à vivre. Qu'est-ce qui est préférable ? Finir tranquille dans l'ennui qu'aura été toute votre vie ? Ou bien, si vous êtes musicien, comprendre enfin pourquoi votre musique vient d'être huée et, dès le lendemain, rencontrer celle qui devrait être votre dernier amour ?
Ultime partition amoureuse d’un compositeur proche de la mort, récit tragique et léger : le douzième roman de Gailly est tout simplement parfait. Dernier amour est la suite exacte d’Un soir au club, ou plutôt l’histoire de ses effets sur un romancier plus souverainement musical que jamais. Tout cela tient bien sûr à peut de choses, et touche donc à l’essentiel : la vie, la mort, le piano.
Paul Cédrat est compositeur de musique dite contemporaine. Le quatuor Alexander doit interpréter, un soir d’été à Zurich, son Quatuor à cordes, opus 12, entre une pièce de Haydn et l’Opus 131 de Beethoven. Paul est dans la salle, c’est la minute de son œuvre, et c’est aussitôt le flop : l’assistance marque son mécontentement, il faut précipiter l’entracte, il ne reste plus qu’à passer à Beethoven. Et à mourir. Car Paul est trop maigre et très malade, aussi s’en va-t-il agoniser au bord de la mer.
Avec la facilité d’un pianiste qui n’a presque plus besoin de jouer, ou alors seulement quelques notes, Gailly se permet une sorte d’improvisation au bord du gouffre : des silences, beaucoup de vide, quelques motifs et deux ou trois couleurs. A peine un roman, en vérité : quelque chose comme l’ébauche d’une chanson, l’équivalent littéraire tout juste murmuré de It Was a Very Good Year, le chef d’œuvre de Sinatra sur lequel tombe Paul à la radio. Mais du Sinatra joué par un Bill Evans très fatigué : tragique et léger, merveilleusement syncopé, attrapant sa vie comme une mélodie impossible à sauver, et se sauvant bien sûr par elle. Le dernier mot du livre ? « Merci ».Sous niveau : Sin asignar Index niveau : Sin asignar Ejemplares(1)
Código de barras Signatura Tipo de medio Ubicación Sección Estado 400-00000005142 LIT GAI R Livre AF Cali Collection générale Disponible Oh les beaux jours / Samuel Beckett
Título : Oh les beaux jours Tipo de documento: texto impreso Autores: Samuel Beckett (1906-1989), Autor Editorial: Paris : les Éd. de Minuit Fecha de publicación: 2019 Colección: Collection Double Número de páginas: 96 Pages Il.: ill. en coul.,18 x 11 x 0 cm ISBN/ISSN/DL: 978-2-7073-4583-7 Idioma : Francés (fre) Resumen: Oh les beaux jours. Pièce en deux actes pour deux personnages, écrite en anglais entre 1960 et 1961. Traduite en français par l'auteur en 1962. La première représentation, avec Madeleine Renaud dans le rôle de Winnie et Jean-Louis Barrault dans celui de Willie, eut lieu en septembre 1963 au Festival du Théâtre de Venise, où elle remporta un immense succès. Fin octobre 1963, la pièce fut reprise par ces mêmes acteurs à Paris au Théâtre de l'Odéon. Elle a figuré ensuite durant de très nombreuses années au répertoire de la Compagnie Renaud-Barrault.
Première publication en anglais : Happy Days, New York, Grove Press, 1961. Première publication de la traduction française aux Éditions de Minuit en 1963.
« Dans une étendue désertique d’herbe brûlée se dresse un petit mamelon aux pentes douces dans lequel Winnie est enterrée, d’abord jusqu’au-dessus de la taille. Winnie se souvient qu’en la voyant, un passant s’était demandé : " À quoi ça rime ? ... fourrée jusqu’aux nénés dans le pissenlit... ça signifie quoi ? ”
Cela rime avec la vie de tout être humain. Cela signifie le courage dont la personne humaine peut se montrer capable.
Winnie est pleinement vivante, c’est-à-dire qu’elle endure stoïquement tout ce que vivre implique. Elle est l’incarnation même du courage qu’exige l’inéluctable déroulement de la vie, jour après jour “ à perte de passé et d’avenir ”. Envers et contre toutes les souffrances et les indignités du délabrement, il émane de Winnie une inébranlable volonté de dignité humaine : “ Tiens-toi, Winnie ”, se dit-elle, “ advienne que pourra, tiens-toi. ”
Certes, elle aurait tout lieu de sombrer dans des “ bouillons de mélancolie ”, mais elle s’y refuse farouchement. Puisque vivre c’est continuer encore, autant perdurer “ d’un cœur léger ”, dignité oblige. Elle s’est ainsi forgé l’art inépuisable de trouver dans la moindre babiole, dans l’événement le plus minime, une source de pétulant intérêt et de vif plaisir : “ Ça que je trouve si merveilleux ” ne cessera-t-elle de s’exclamer. L’apparente frivolité de son discours est, comme l’humour, la chatoyante politesse du désespoir. “ Oh le beau jour encore que ça aura été... Encore un... Après tout. ”
L’humour de Samuel Beckett ne verse jamais dans l’amère dérision. Oh les beaux jours est une œuvre infiniment tonique, puissante, tout à la fois drolatique et profondément bouleversante. »
Edith FournierSous niveau : Sin asignar Index niveau : Sin asignar Oh les beaux jours [texto impreso] / Samuel Beckett (1906-1989), Autor . - Paris : les Éd. de Minuit, 2019 . - 96 Pages : ill. en coul.,18 x 11 x 0 cm. - (Collection Double) .
ISBN : 978-2-7073-4583-7
Idioma : Francés (fre)
Resumen: Oh les beaux jours. Pièce en deux actes pour deux personnages, écrite en anglais entre 1960 et 1961. Traduite en français par l'auteur en 1962. La première représentation, avec Madeleine Renaud dans le rôle de Winnie et Jean-Louis Barrault dans celui de Willie, eut lieu en septembre 1963 au Festival du Théâtre de Venise, où elle remporta un immense succès. Fin octobre 1963, la pièce fut reprise par ces mêmes acteurs à Paris au Théâtre de l'Odéon. Elle a figuré ensuite durant de très nombreuses années au répertoire de la Compagnie Renaud-Barrault.
Première publication en anglais : Happy Days, New York, Grove Press, 1961. Première publication de la traduction française aux Éditions de Minuit en 1963.
« Dans une étendue désertique d’herbe brûlée se dresse un petit mamelon aux pentes douces dans lequel Winnie est enterrée, d’abord jusqu’au-dessus de la taille. Winnie se souvient qu’en la voyant, un passant s’était demandé : " À quoi ça rime ? ... fourrée jusqu’aux nénés dans le pissenlit... ça signifie quoi ? ”
Cela rime avec la vie de tout être humain. Cela signifie le courage dont la personne humaine peut se montrer capable.
Winnie est pleinement vivante, c’est-à-dire qu’elle endure stoïquement tout ce que vivre implique. Elle est l’incarnation même du courage qu’exige l’inéluctable déroulement de la vie, jour après jour “ à perte de passé et d’avenir ”. Envers et contre toutes les souffrances et les indignités du délabrement, il émane de Winnie une inébranlable volonté de dignité humaine : “ Tiens-toi, Winnie ”, se dit-elle, “ advienne que pourra, tiens-toi. ”
Certes, elle aurait tout lieu de sombrer dans des “ bouillons de mélancolie ”, mais elle s’y refuse farouchement. Puisque vivre c’est continuer encore, autant perdurer “ d’un cœur léger ”, dignité oblige. Elle s’est ainsi forgé l’art inépuisable de trouver dans la moindre babiole, dans l’événement le plus minime, une source de pétulant intérêt et de vif plaisir : “ Ça que je trouve si merveilleux ” ne cessera-t-elle de s’exclamer. L’apparente frivolité de son discours est, comme l’humour, la chatoyante politesse du désespoir. “ Oh le beau jour encore que ça aura été... Encore un... Après tout. ”
L’humour de Samuel Beckett ne verse jamais dans l’amère dérision. Oh les beaux jours est une œuvre infiniment tonique, puissante, tout à la fois drolatique et profondément bouleversante. »
Edith FournierSous niveau : Sin asignar Index niveau : Sin asignar Ejemplares(3)
Código de barras Signatura Tipo de medio Ubicación Sección Estado 104-00000014730 LIT BEC T Livre AF Bogotá Chicó Collection générale Disponible 400-00000000370 LIT BEC T Livre AF Cali Collection générale Disponible 400-00000002122 LIT BEC T Ex.2 Livre AF Cali Collection générale Disponible